• Une grave nouvelle
     
    Une grave nouvelle est annoncée
    La dernière fleur s'est suicidée
    Elle en avait marre d'être saturée
    Par la pollution et la fumée

     
    Bien que l'homme l'ait apprivoisée
    Dans sont petit pot conditionnée
    Elle rêvait de courir dans les prés
    Comme ses ancêtres au mois de mai !


     
    Elle est partie subitement
    Sans laisser de testament
    Nous laissant seul dans l'ouragan
    Nous laissant regretter le printemps


     
    Le monde entier pleure la mort
    Du végétal qui a eu tort
    N'avoir su vivre en accord
    Avec ceux qu'on nomme humain encore


     
    Cette chanson je la dédie
    A toute les gentes floralies
    Afin que ne tombent dans l'oubli !
    Toutes ces fleurs qui font la vie

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    ANNONCE DE WATER CAUSETTES

     
     Espace publique : s'y taire
    (on a déjà les effluves)


    C'est pas le plus grand salon de lecture au monde mais c'est le plus fréquenté.

    Indispensable et à placer sur la porte des WC dans toutes les familles 


    - Petite réflexion séculière sur un lieu ô combien singulier où nous passons tous un temps certain, parfois en situation d'urgence principalement dans le foyer .
     

     -  Ici commence le monde intérieur.
    C'est un univers de concentration et de méditation, un havre de paix *. attention à l'orthographe !
     
    C'est le seul endroit où l'homme confronté à lui même matérialise sa méditation,  matière à réflexion !
     
    Et que celui ou celle qui vient de finir le rouleau,
    le remplace!!!!
    S.V.P


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  • En chanson ↑ et en texte ↓



    Quand je l'ai vue avec sa robe à fleurs
    Toute jolie et belle comme un coeur
    Une fille en techni-couleur

    Bleu jaune rouge
     
    Elle avait les couleurs de l'arc en ciel
    Avec de beaux yeux, des cheveux comme du miel
    Elle était vraiment belle


    Belle, belle, belle


    Alors J'ai interpellé ses yeux rieurs
    En lui lançant un peu provocateur
    Le fameux cri du dragueur 
    (sifflet)
     

    Elle s'est retournée et puis stupeur
    Elle m'a adressé un sourire majeur
    J'ai fondu comme du beurre

    Oh, oh, oh
     
    Puis je l'ai prise et serrée tout contre moi
    et c'est alors que j'ai senti monter en moi
    vous ne savez pas quoi

    quoi, quoi, quoi


    J'ai rencontré ce petit bout de bonheur
    qui était belle comme une fleur
    qui faisait boum dans mon coeur


    boum, boum, boum
     
    Sitôt prendre son courage à deux mains
    surtout sans le remettre à demain
    démarrer à zéro


    1, 2, 3
     
    Aller se promener dans les bois
    pour mieux s'allonger à côté de toi
    drôle d'envie avoir toi


    4, 5, 6
     
    Et soudain lui offrir des cerises
    même si la saison n'est pas de mise
    ne bouges pas restes assise


    7, 8, 9
     
    Ce qui pousse à l'intérieur du sien
    de son cœur d'y avoir mis le mien
    et puis qui comme un œuf


    10, 11, 12
     
    En regardant tes lèvres toutes rouges
    et en écoutant ton ventre qui bouge
    ce tout petit toi et moi
    ce toi et moi en émoi
    et moi y en a aimer toi
     
    Puis je l'ai prise et serrée tout contre moi
    et c'est alors que j'ai senti monter en moi
    vous ne savez pas quoi
    ça faisait tchic tchic               boum


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  • La science des indiens. Notez bien qu'ils ne disaient pas au cas où, mais OKAHE.
    Toute la pensée positive réside en cela, les indiens tout comme mon tomahawk, pensaient positivement, dans tous les aspects séculiers de la vie.
    Ainsi, lors d'une offrande où ils brûlaient leurs possessions les plus chères, arcs, flèches et carquois, ils se trouvaient satisfaits de ce que la fumée s'élevait directement vers les cieux, signe que le grand esprit acceptait leurs offrandes (la fumée ne s'élève -t-elle pas toujours et en direction des cieux). Cela était aussi leur positivisme mélangé à leur foi envers le grand esprit, saupoudré de leur humour propre (il n'y avait pas que du mysticisme et de l'ignorance qui coulaient dans leurs veines).




    Enfin, c'est ainsi que pense mon indien Tomahawk.


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