•  Madame marie
    Je vous dois quelques explications, à propos de cette chanson. L'histoire fait appel à mes souvenirs d'enfance, j'ai habité là pdt 11 ans à St malo, super ville, et supers souvenirs de cette période qui a déroulé le film de ma vie de 5 à 16 ans. Madame marie a bien existé, elle cirait effectivement beaucoup, une accro de l'encaustique et une maniaque du patin (celui qu'on glisse sous les pieds), car tout était en bois dans l'immeuble où nous habitions, les sols des appartements comme les escaliers, sauf nos fesses. Et il fallait en avoir de bonnes qui amortissent, car on s'en est pris quelques unes de glissades dessus. En breton on aurait dit un "FESSE NOZ".


    Quand soudain je me suis vu


    En train de dévaler l'escalier


    Après avoir glissé


    Jusqu'au rez-de-chaussée


    C'est à cause de Madame Marie


    Avec sa drôle de manie


    De toujours vouloir cirer


    L'escalier

     

    C'est bizarre quand on pense


    Aux événements de son enfance


    Combien on a été marqué


    Par les choses passées


    La vie est un médicament


    A l'effet de l'Onguent


    Après les chutes à la récré


    D'écoliers

     

    En Bretagne ces années


    Où tout ça s'est passé


    A côté de St Malo


    Cité au bord de l'eau


    Je conserve tous les souvenirs


    Des rochers des menhirs


    Et Que l'on gravissait comme des


    Escaliers

     

    Mon enfance à lorette


    Petite cité coquette


    Dans la ville de St Servan


    Joli département


    Des journées entières à la plage


    Qui se tournent comme des pages


    Et puis de toutes les dévorer


    Presque à lier

     

    Très souvent je me souviens


    De tous ces liens


    Même de madame Marie


    Qui a sévie


    Sur ma vie,  surtout sur mes fesses


    Une drôle de kermesse


    Comme j'aimerais encore dévaler


    L'escalier


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  • Aie

    Ouaille  Ce matin, Why ?
    Une petite explication : dans les années 70/80, dans le commerce se vendait un poster (photo) d'un enfant vietnamien dénudé avec un casque militaire sur la tête avec des douilles d'obus à ses pieds
    Ce matin un enfant
    s'est fait tué
    Par de drôles de jouets
    Par de drôles de machines
    Que par millions on usine
    Qu'on brandit comme fétiches
    Du plus pauvre au plus riche
     
    Ce matin un enfant
    s'est fait tué
    Il n'avait rien demandé
    Juste le droit de se lever
    De rire et s'amuser
    D'aller à l'école
    Comme un pigeon vole
     
    Ce matin un enfant
    Un enfant est mort
    Sans laisser de remord
    A ceux qui articulent
    Fabriquent et manipulent
    Le prix en est une mort
    D'un petit être qui a eu tort
    D'être présent sur cette terre
    Au milieu des grands dans leur colère
     
    Arrêtez la guerre
    Ne croisez plus le fer
    S'il vous plait gouvernants
    N'oubliez pas vos serments
    Par trop de gens dans le malheur
    Viennent les cris et les pleurs


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  • Pub



    ANNONCE DE WATER CAUSETTES

     
     Espace publique : s'y taire
    (on a déjà les effluves)


    C'est pas le plus grand salon de lecture au monde mais c'est le plus fréquenté.

    Indispensable et à placer sur la porte des WC dans toutes les familles 


    - Petite réflexion séculière sur un lieu ô combien singulier où nous passons tous un temps certain, parfois en situation d'urgence principalement dans le foyer .
     

     -  Ici commence le monde intérieur.
    C'est un univers de concentration et de méditation, un havre de paix *. attention à l'orthographe !
     
    C'est le seul endroit où l'homme confronté à lui même matérialise sa méditation,  matière à réflexion !
     
    Et que celui ou celle qui vient de finir le rouleau,
    le remplace!!!!
    S.V.P


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  • En chanson ↑ et en texte ↓



    Quand je l'ai vue avec sa robe à fleurs
    Toute jolie et belle comme un coeur
    Une fille en techni-couleur

    Bleu jaune rouge
     
    Elle avait les couleurs de l'arc en ciel
    Avec de beaux yeux, des cheveux comme du miel
    Elle était vraiment belle


    Belle, belle, belle


    Alors J'ai interpellé ses yeux rieurs
    En lui lançant un peu provocateur
    Le fameux cri du dragueur 
    (sifflet)
     

    Elle s'est retournée et puis stupeur
    Elle m'a adressé un sourire majeur
    J'ai fondu comme du beurre

    Oh, oh, oh
     
    Puis je l'ai prise et serrée tout contre moi
    et c'est alors que j'ai senti monter en moi
    vous ne savez pas quoi

    quoi, quoi, quoi


    J'ai rencontré ce petit bout de bonheur
    qui était belle comme une fleur
    qui faisait boum dans mon coeur


    boum, boum, boum
     
    Sitôt prendre son courage à deux mains
    surtout sans le remettre à demain
    démarrer à zéro


    1, 2, 3
     
    Aller se promener dans les bois
    pour mieux s'allonger à côté de toi
    drôle d'envie avoir toi


    4, 5, 6
     
    Et soudain lui offrir des cerises
    même si la saison n'est pas de mise
    ne bouges pas restes assise


    7, 8, 9
     
    Ce qui pousse à l'intérieur du sien
    de son cœur d'y avoir mis le mien
    et puis qui comme un œuf


    10, 11, 12
     
    En regardant tes lèvres toutes rouges
    et en écoutant ton ventre qui bouge
    ce tout petit toi et moi
    ce toi et moi en émoi
    et moi y en a aimer toi
     
    Puis je l'ai prise et serrée tout contre moi
    et c'est alors que j'ai senti monter en moi
    vous ne savez pas quoi
    ça faisait tchic tchic               boum


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  • La science des indiens. Notez bien qu'ils ne disaient pas au cas où, mais OKAHE.
    Toute la pensée positive réside en cela, les indiens tout comme mon tomahawk, pensaient positivement, dans tous les aspects séculiers de la vie.
    Ainsi, lors d'une offrande où ils brûlaient leurs possessions les plus chères, arcs, flèches et carquois, ils se trouvaient satisfaits de ce que la fumée s'élevait directement vers les cieux, signe que le grand esprit acceptait leurs offrandes (la fumée ne s'élève -t-elle pas toujours et en direction des cieux). Cela était aussi leur positivisme mélangé à leur foi envers le grand esprit, saupoudré de leur humour propre (il n'y avait pas que du mysticisme et de l'ignorance qui coulaient dans leurs veines).




    Enfin, c'est ainsi que pense mon indien Tomahawk.


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