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Par vinche le 15 Novembre 2006 à 07:18Madame marie
Je vous dois quelques explications, à propos de cette chanson. L'histoire fait appel à mes souvenirs d'enfance, j'ai habité là pdt 11 ans à St malo, super ville, et supers souvenirs de cette période qui a déroulé le film de ma vie de 5 à 16 ans. Madame marie a bien existé, elle cirait effectivement beaucoup, une accro de l'encaustique et une maniaque du patin (celui qu'on glisse sous les pieds), car tout était en bois dans l'immeuble où nous habitions, les sols des appartements comme les escaliers, sauf nos fesses. Et il fallait en avoir de bonnes qui amortissent, car on s'en est pris quelques unes de glissades dessus. En breton on aurait dit un "FESSE NOZ".
Quand soudain je me suis vu
En train de dévaler l'escalier
Après avoir glissé
Jusqu'au rez-de-chaussée
C'est à cause de Madame Marie
Avec sa drôle de manie
De toujours vouloir cirer
L'escalier
C'est bizarre quand on pense
Aux événements de son enfance
Combien on a été marqué
Par les choses passées
La vie est un médicament
A l'effet de l'Onguent
Après les chutes à la récré
D'écoliers
En Bretagne ces années
Où tout ça s'est passé
A côté de St Malo
Cité au bord de l'eau
Je conserve tous les souvenirs
Des rochers des menhirs
Et Que l'on gravissait comme des
Escaliers
Mon enfance à lorette
Petite cité coquette
Dans la ville de St Servan
Joli département
Des journées entières à la plage
Qui se tournent comme des pages
Et puis de toutes les dévorer
Presque à lier
Très souvent je me souviens
De tous ces liens
Même de madame Marie
Qui a sévie
Sur ma vie, surtout sur mes fesses
Une drôle de kermesse
Comme j'aimerais encore dévaler
L'escalier
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Par vinche le 11 Novembre 2006 à 18:14
Ouaille Ce matin, Why ?
Une petite explication : dans les années 70/80, dans le commerce se vendait un poster (photo) d'un enfant vietnamien dénudé avec un casque militaire sur la tête avec des douilles d'obus à ses pieds
Ce matin un enfant
s'est fait tué
Par de drôles de jouets
Par de drôles de machines
Que par millions on usine
Qu'on brandit comme fétiches
Du plus pauvre au plus riche
Ce matin un enfant
s'est fait tué
Il n'avait rien demandé
Juste le droit de se lever
De rire et s'amuser
D'aller à l'école
Comme un pigeon vole
Ce matin un enfant
Un enfant est mort
Sans laisser de remord
A ceux qui articulent
Fabriquent et manipulent
Le prix en est une mort
D'un petit être qui a eu tort
D'être présent sur cette terre
Au milieu des grands dans leur colère
Arrêtez la guerre
Ne croisez plus le fer
S'il vous plait gouvernants
N'oubliez pas vos serments
Par trop de gens dans le malheur
Viennent les cris et les pleurs
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Par vinche le 11 Novembre 2006 à 16:23
ANNONCE DE WATER CAUSETTES
Espace publique : s'y taire
(on a déjà les effluves)
C'est pas le plus grand salon de lecture au monde mais c'est le plus fréquenté.
Indispensable et à placer sur la porte des WC dans toutes les familles
- Petite réflexion séculière sur un lieu ô combien singulier où nous passons tous un temps certain, parfois en situation d'urgence principalement dans le foyer .
- Ici commence le monde intérieur.
C'est un univers de concentration et de méditation, un havre de paix *. attention à l'orthographe !
C'est le seul endroit où l'homme confronté à lui même matérialise sa méditation, matière à réflexion !
Et que celui ou celle qui vient de finir le rouleau,
le remplace!!!!
S.V.P
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Par vinche le 11 Novembre 2006 à 13:56
En chanson ↑ et en texte ↓
Quand je l'ai vue avec sa robe à fleurs
Toute jolie et belle comme un coeur
Une fille en techni-couleur
Bleu jaune rouge
Elle avait les couleurs de l'arc en ciel
Avec de beaux yeux, des cheveux comme du miel
Elle était vraiment belle
Belle, belle, belle
Alors J'ai interpellé ses yeux rieurs
En lui lançant un peu provocateur
Le fameux cri du dragueur
(sifflet)
Elle s'est retournée et puis stupeur
Elle m'a adressé un sourire majeur
J'ai fondu comme du beurreOh, oh, oh
Puis je l'ai prise et serrée tout contre moi
et c'est alors que j'ai senti monter en moi
vous ne savez pas quoiquoi, quoi, quoi
J'ai rencontré ce petit bout de bonheur
qui était belle comme une fleur
qui faisait boum dans mon coeur
boum, boum, boum
Sitôt prendre son courage à deux mains
surtout sans le remettre à demain
démarrer à zéro
1, 2, 3
Aller se promener dans les bois
pour mieux s'allonger à côté de toi
drôle d'envie avoir toi
4, 5, 6
Et soudain lui offrir des cerises
même si la saison n'est pas de mise
ne bouges pas restes assise
7, 8, 9
Ce qui pousse à l'intérieur du sien
de son cœur d'y avoir mis le mien
et puis qui comme un œuf
10, 11, 12
En regardant tes lèvres toutes rouges
et en écoutant ton ventre qui bouge
ce tout petit toi et moi
ce toi et moi en émoi
et moi y en a aimer toi
Puis je l'ai prise et serrée tout contre moi
et c'est alors que j'ai senti monter en moi
vous ne savez pas quoi
ça faisait tchic tchic boum
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Par vinche le 11 Novembre 2006 à 13:02
La science des indiens. Notez bien qu'ils ne disaient pas au cas où, mais OKAHE.
Toute la pensée positive réside en cela, les indiens tout comme mon tomahawk, pensaient positivement, dans tous les aspects séculiers de la vie.
Ainsi, lors d'une offrande où ils brûlaient leurs possessions les plus chères, arcs, flèches et carquois, ils se trouvaient satisfaits de ce que la fumée s'élevait directement vers les cieux, signe que le grand esprit acceptait leurs offrandes (la fumée ne s'élève -t-elle pas toujours et en direction des cieux). Cela était aussi leur positivisme mélangé à leur foi envers le grand esprit, saupoudré de leur humour propre (il n'y avait pas que du mysticisme et de l'ignorance qui coulaient dans leurs veines).Enfin, c'est ainsi que pense mon indien Tomahawk.
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